La philosophie
du Dr. Edward Bach
La philosophie du Dr. Bach
Selon le Dr. Bach, la maladie désigne tous les déséquilibres de l’être, qu’ils soient physiques, énergétiques ou émotionnels. Elle serait non seulement utile mais aussi bénéfique selon ses propos : « La maladie, apparemment si cruelle, est en soi bienfaisante et nous est profitable, car si nous l’interprétons correctement, elle nous montrera nos principaux défauts ». Telle une missionnaire, elle a un message bien défini à nous faire passer. De part cette perception de la maladie, vouloir soigner les symptômes supprimerait simplement le signal d’alarme et non pas la cause. En procédant de cette façon, le message ne peut parvenir à son destinataire.
En ce sens, la thérapie florale permet d’entendre le véritable message véhiculé par la maladie et de retrouver une connexion profonde à son essence. Plus qu’un médecin, le Dr. Bach était un guide spirituel, un enseignant plaçant l’âme et le « Moi supérieur » au coeur de sa pratique : « L’homme a une âme qui est son Moi réel (…) dont le corps, bien que le temps terrestre de cette Âme, n’est qu’un pâle reflet. ».
Étant très connecté à la nature, sensible à ses messages porteurs d’espoir, le Dr. Bach découvrit en seulement quelques années (1928-1935) 38 fleurs de champs et d’arbres en goûtant lui-même certaines d’entre elles pour intégrer ce qu’il se passait en lui. Les propriétés de ces 38 remèdes floraux ont toutes pour objectifs d’harmoniser et d’équilibrer l’état physique et psychique des êtres vivants ayant l’envie de trouver une réponse naturelle aux tracas du quotidien. Ces remèdes, mis au point par le processus de solarisation, sont aujourd’hui connus sous le nom de « Fleurs de Bach ».
Épuisé et très faible, il décède en novembre 1936 à l’âge de 50 ans, 20 ans de plus que ce que lui avait prédit ses médecins.